Etienne Mineur archives

Quelques images prises au musée Ghibli de Tokyo.

plus d’infos :
--> http://www.oomu.org/ghibli-museum.html
--> http://www.ghibli-museum.jp/

En allant vers le studio de Hideki Nakajima pour faire un interview, nous (quand je dis «nous» dorénavant, il s’agit de Claire, Wim et moi ;-) avons trouvé cet étrange bâtiment abritant une école d’architecture.
Notre guide (mais aussi interprète, conseillère, spécialiste en design, en culture japonaise... et surtout très motivante dans notre aventure ; Anne Gossot ) vient de trouver quelques infos sur ce bâtiment.

Mise à jour :
Il s’agit en fait de l’architecte Makoto Sei Watanabe.
http://www.makoto-architect.com/aos/aos1.htm

Un graffeur qui fait très bien sa pub dans le parc de Yoyogi :
sur le graff vous pouvez lire cette adresse : http://www.suiko1.com/
À Tokyo, on ne sait jamais si ce sont des graffs «officiels », car on les trouve à des endroits bien déterminés, ils ne dépassent pas du mur... comme toujours au Japon, tout est visiblement bien ordonné.

ps : en bas à gauche, c’est ma silhouette pour vous montrer l’échelle.
ps : c'est le dernier billet sur les graffs pour cette semaine ;-)

Quelques graffs, un peu plus «sauvages» dans le quartier de Shibuya.

ps : j’adore le premier, car il s’agit vraiment d’une retranscription de la prononciation à la Japonaise.

Quelques graffs tokyoïtes, pour Fred Boot et son ami Julien ;-)

Quelques photos de bâtiments à Omotesando (Louis Vuiton avec un intérieur en marqueterie et Todds, structuré suivant l’ombre projetée des arbres placés devant) et un peu plus bas dans la rue, le quartier d’Aoyama, vous pourrez trouver le magnifique bâtiment de Prada (Herzog et de Meuron).

les affiches de la campagne électorale Japonaise ;-)
En ce moment, dans les rues de Tokyo vous pouvez voir de nombreuses affiches concernant les élections municipales (élection des «maires » d’arrondissement).
Voici quelques photos de ces affiches :

ps : J’ai pu écrire un petit article concernant les affiches électorales françaises pour Fluctuat, disponible à cette adresse :
http://www.fluctuat.net/4214-

ps2: à la suite de cet article, Arnaud Jacob (de Fluctuat) m'envoie un mail permettant de préciser quelques points, en voici un extrait :

Arnaud Jacob : - es-tu sûr ce ces images n'ont pas été réalisées par des professionnels ? Par ex, pour celle de Ségo, n'a-t-elle pas été réalisé sous la direction d'un conseiller Séguéla like...

Etienne Mineur : si sûrement, et c'est bien le problème, les "Séguéla Like", n'ont aucune culture graphique et s'en foutent carrément, c'est ça le problème.

Arnaud Jacob :- ne faudrait-il pas, le cas échéant, citer les noms des designers ou des photographes (je pense à Yann Arthus Bertrand, qui a photographié Voynet)

Etienne Mineur : très dur à trouver, ces affiches sont rarement signées, si tu as les noms, il faut bien sûr les mettre, mais de mon côté c'est dur à trouver. En plus je suis sur que la plus part ont fait appel à des photographes confirmés, mais leurs photos ont été massacrées par la mise en page.

Quelques photos (juste avant de me faire arrêter par un vigile, car on a soit disant pas le droit de photographier ce bâtiment sans l’accord de l’architecte, bref n’importe quoi, comme partout dans le monde!) du bâtiment Dior dans le quartier de Ginza. Ce bâtiment est constitué d’une double coque trouée permettant de créer des moirages visuels très intéressants quand vous marchez dans sa direction (mise à jour : du cabinet Sanaa). Et aussi un autre bâtiment dans tout autre style, celui de Mikimoto (architecture de Toyo Ito).

Un petit tour à la Ginza Graphic Gallery alias GGG.
L’exposition actuelle concerne les lauréats du Tokyo Type Directors Club Annual Awards 2007 (du 3 Avril au 25 Avril, 2007).
C’est toujours bizarre d’être à l’autre bout du monde et de se retrouver au milieu d’affiches des M/M, de Stefan Sagmeister, d’Alexander Gelman, de Matthew Carter...
le grand prix est tout de même attribué à Kazunari Hattori que je ne connaissais que très vaguement.

Toujours sur les trottoirs de Tokyo et un peu au-dessus.

Une série de photos prisent dans la quartier de Ginza ce samedi 14 avril. Cette signalétique est incrustée dans le sol, même sans parler japonais, on peut comprendre (sauf pour la troisième photo).

Je suis au Japon, mais en fouillant dans mes photos du mois dernier, j'ai trouvé cette photo prise le 27 mars à Manhattan (quand le monde du graff rencontre celui du marketting ;-)

--> plus d’infos là : www.rockstargames.com/IV/

Je prends mon avion presque à l’instant pour mon grand voyage (très très en retard, mais c'est normal!).

à très bientôt (j’espère ;-)....

Je pars dans six jours au Japon, et voici l’avion de mes rêves (surtout avec un petit garçon de quatre ans).

--> photos trouvée sur le blog http://www.huge-entity.com/

En cherchant un nouveau lecteur de flux RSS (j'utilise Netvibes, mais j'aime bien regarder ailleur) je suis tombé sur ce lecteur assez particulier : Twingly, qui fait aussi «screen saver» (pour PC).

Je connaissais les grafs sur le TGV, mais en regardant le reportage TAGS LA GUERRE SOUTERRAINE diffusé par Canal + (merci Benoît) je viens de voir que le Concorde avait été aussi joliment décoré, bon maintenant il manque l’Airbus A380 ;-)

Juste une petite remarque sur ces pseudos symboles français, on doit avoir un gros complexe, nous les Français, regardez :
Le concorde (l'avion de transport civil le plus rapide au monde), le TGV (le train le plus rapide du monde), L’Airbus A 380 (le plus gros transporteur civil au monde), les champs Elysées (la plus belle avenue du monde), le Louvre (le musée d'art le plus visité au monde et le plus grand au monde)...
ça me fait penser à ces gens qui veulent avoir une plus grosse voiture que leurs voisins, ce n'est jamais bon signe!

Voici une liste de logiciels et surtout de langages de programmation plus ou moins dédiés au traitement de l’image (et du son) en temps réel:

--> Designing by Numbers
--> Processing
--> des librairies graphiques (particules et animations) pour Processing :
http://www.cs.princeton.edu/~traer/
--> Nylon
--> OpenCode
--> vvvv
--> Max/MSP + Jitter
--> Pure Data, c’est un Max/MSP en open source créé par Miller Puckette, l’auteur du premier Max.
--> en complément de PureData : Framestein
--> Isadora
--> EyesWeb
--> Virtools, pour la 3D temps réel, avec un système de programmation proche de MAX MSP (en plus simple, je trouve)
--> il existe aussi Python, Perl, Ruby ou Java, mais ces langages sont plus généralistes.

Pour le Hardware associé (capteurs, interface physique...) :

--> www.phidgets.com
--> www.makingthings.com

--> plus d'infos en français là : http://www.erg.be/blogs/artNumeur/
--> une chronologie des langages de programmation.

--> image me servant d'illustration prise sur le site : http://dh7.free.fr/

ps : merci à Jean-François Depelsenaire pour Isadora que je ne connaissais pas.

Juste sorti (ou presque!) le CD audio Établissement d'un ciel d'alternance de Jean-Jacques Birgé et Michel Houellebecq dont voici un extrait avec l’autorisation des auteurs (merci Jean-Jacques).





--> pochette d’Étienne Auger.
--> plus d’info : http://www.drame.org/

le Google will eat itself est un projet constitué de sites web cachés avec des pubs Google générant des profits (par un système de clic automatique)
Ces profits sont utilisés pour racheter automatiquement des actions Google avec pour but de racheter Google entièrement (bon courage;-) grâce à cet «autocannibalistic model ».

--> merci Cati pour le lien que j’adore!

Voici un petit texte écrit pour Magazine n°38 concernant l'évolution de l’utilisation du logo du Centre Pompidou.

1977, Jean Widmer conçoit l’identité visuelle du nouveau Centre Georges Pompidou à Paris. Il ne veut pas dessiner de logo, son système visuel et signalétique étant selon lui suffisant à l’identité du futur centre. Ne pas dessiner de logo, pour un designer graphique, est une sorte de fantasme, un absolu : signifier une entité uniquement par l’utilisation d’une couleur, d’une typographie, d’un système graphique et sans y apposer ce fameux logo. Mais, la direction du centre insiste : ça rassure un logo. On peut le coller partout : sur une chaise, sur un laissez-passer, sur un billet, sur un bâtiment...
Jean Widmer obtempéra et dessina donc ce logo, si simple et si évident, une fois créé. C’est une épure du bâtiment si caractéristique, avec son escalator en façade. Il est immédiatement reconnaissable (même si son auteur ne figura que cinq étages dans son logo alors que le bâtiment en comporte six) et en même temps presque abstrait.

De nombreuses années plus tard, pour le passage symbolique au nouveau siècle et après presque deux ans de fermetures partielles, une nouvelle identité du centre fut demandée au designer Ruedi Baur. Dans un premier temps, l’idée de faire disparaître ce logo fut envisagée par son équipe, mais rapidement la communauté des graphistes fit pression pour garder ce signe si important, devenu avec le temps un logo historique. Depuis 2000, Ruedi Baur a adopté un « typogramme » à partir du nom Centre Pompidou, composé sur une diagonale inversée par rapport au logo original. La nouvelle charte graphique ne fit donc pas disparaître le logo, mais ne l’imposa pas non plus ; son utilisation resta à la discrétion des graphistes. Au cours du temps, il se fit de plus en plus discret, comme une sorte de cache-cache graphique avec le logo de Jean Widmer. Il apparaît sur un laissez-passer, disparaît sur une affiche, réapparaît sur les documents de la Bpi (Bibliothèque publique d'information), est absent du site Internet du centre, alors qu’en guise de page d’accueil il affiche une photo du bâtiment...

Contrairement aux marques commerciales, qui essayent d’imposer leur image par la répétition de leur logo, créant par là-même une pollution visuelle insupportable, le logo de Beaubourg est une vraie réussite : il est toujours présent mais presque jamais imprimé…

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Beaucoup plus d'informations dans un texte très complet de Catherine de Smet sur ce logo:Histoire d'un rectangle rayé. Jean Widmer et le logo du Centre Pompidou, les Cahiers du Musée national d'art moderne, automne 2004, n° 89, p. 5-23.