Etienne Mineur archives

rencontre avec Chris Lee à Singapour...

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rencontre avec Franck Martin et son équipe de VO interactive à Hanoï...

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Tout le monde commence à parler de Blade Runner (même Peter Gabor et Hi-res..) bref, je veux aussi participer au buzz pour cette nouvelle version de Blade Runner, la Final version, la Ultimate version.. on verra bien.
Je voulais juste signaler une anecdote, lors de mon premier voyage à Hong Kong (il y a plus de dix ans facilement), la nuit sous la pluie, entre les magasins d’électronique et les restaurants de soupes chinoises, le premier nom qui vous vient à l’esprit c’est Blade Runner.
Ce qui est amusant, c’est qu’à chaque fois que je discute de Hong Kong avec quelqu’un, le nom de ce film revient sans cesse (même de la part des Chinois de Hong Kong).
Il est intéressant de savoir que ce fut le Shaw Studio (crédité sous le nom de Run Run Shaw) qui sauva financièrement ce film. Cette célèbre compagnie de Hong Kong apporta son aide financière au dernier moment pour boucler le budget et permit donc à Ridley Scott de finir son chef d’œuvre aux États-Unis.

Et pour fêter les 25 ans de ce film, un extrait qui a du marquer beaucoup de futurs graphistes à l’époque (et aussi d’autres;-).



ps : j’ai pu voir ce film au cinéma à l’âge de 13-14 ans, ce fut un de mes premiers films vu dans une salle de cinéma, imaginez le choc ;-)

Nous sommes à Singapour depuis quelques jours et déjà deux interviews (bientôt plus d’infos).
Passer de la Chine populaire et du Vietnam à Singapour est un choc assez important, ici c’est la Suisse ;-)
Tout est propre, rangé, ordonné... tout marche bien, pas de coupure d’électricité, vous pouvez traverser la rue sans risquer la mort chaque seconde...
Donc quelques photos de Singapour...

safari typographique à Hanoï III

Monsieur Zammit demandait hier du graphisme, voici les affiches que l’on peut trouver dans les rues d’Hanoï.
Et aussi une traduction très rapide en français :
affiche 1 : le président Ho Chi Min favorise notre travail...
affiche 2....
affiche 3 : Avec chaleur nous saluons l'élection des représentants de l’association nationale de la XIIème cession (législature)
affiche 4 : Fête nationale de la XIIème cession
affiche 5 : les fouets ne transforment pas les enfants en hommes,
l'amour est plus fort que les réprimandes
laissez aux enfants leurs sourires
affiche 6 : idem
affiche 7 : programme pour la qualité de l'hygiène des aliments, stérilisation...
affiche 8 : soyez éclairé pour choisir les représentants de la XIIème cession

Dans la ville vous pouvez donc voir des affiches de propagandes (politique bien sur, mais aussi beaucoup d’affiche de prévention contre la Sida et la drogue). N’importe quel citoyen Vietnamien peut proposer un slogan ou une affiche au comité populaire de son quartier, puis les affiches sélectionnées sont approuvées (ou non) par le gouvernement qui décide de les afficher dans la ville.

J'ai pu tester pendant mon voyage la version Béta de Simplifymedia pour Itunes, c'est très impressionnant. En effet, vous pouvez partager vos playslist d'Itunes avec qui vous voulez dans le monde. Vous vous retrouver donc à Shanghai en train d'écouter de la musique se trouvant dans le disque dur d'un ami se trouvant à San Francisco ou à Paris.
--> http://www.simplifymedia.com/

Sonic Object, le label de sonneries de téléphone portable de création, d’Antoine Schmitt et Adrian Johnson devient opensource, sous licence Creative Commons.
--> http://www.sonicobject.com/

Et aussi le nouveau projet de Mekanismskateboards avec le peintre allemand Peter Zimmermann est en ligne ici:
--> http://www.mekanismskateboards.com/index.php

Je viens d’arriver à Singapour (très très très différent d’Hanoï ;-) et je viens de prendre un peu de temps pour trier mes photos. Voici une première série de photos prises à Hanoï.

Une unique voie ferrée traverse la ville d’Hanoï.

Hanoï, un samedi soir vers 22h.

rencontre avec Tran Mai à Hanoï, graphiste de guerre...

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rencontre avec Ngo Nhat Hoang à Hanoï...

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un peu de cuisine, comment faire de bons Bảnh Cuốn.

Quelques photos de bâtiments se trouvant le long de la route allant vers la Baie d'Ha-Long.

Des motos et des vélos à Hanoï.

Un café internet à Hanoï ce soir sous la pluie.

En plein milieu de la ville d’Hanoï, vous avez le musée de la guerre.
Bien sûr très impressionnant (des millions de morts et surtout des civils) et surtout, moi français, j’étais entouré d’américains, de chinois et de japonais en train de regarder les mêmes photos et de lire les mêmes textes sur les guerres du Vietnam (je ne vous fais pas un cours d’histoire, mais c’était assez émouvant).



Et pour en finir (définitivement) avec l’armée, une vidéo prise devant la maison historique d’Ho Chi Minh.

Hanoï vers 16h aujourd’hui.

les rues d’Hanoï vers 17h le 11 juin.

Aujourd’hui fut ma première journée au Vietnam. C’est la première fois pour moi (Claire est déjà venue ici il y a plus de treize ans).
Premières impressions : des motos, des mobylettes et le bruit incessant des klaxons. Les Chinois klaxonnent beaucoup, mais là ils sont battus largement. En effet, les Vietnamiens ont décidé visiblement de ne pas utiliser de rétroviseurs sur leurs mobylettes, ils utilisent donc leurs avertisseurs comme moyen de prévenir qu’ils sont derrière une autre moto. Hanoï est peuplé d’environ quatre millions d’habitants et a plus d’un million de vélomoteurs, vous pouvez imaginer le résultat ;-)
De grandes avenues (bruyantes) et très belles, la végétation est encore très présente (contrairement aux grandes villes chinoises).
Des affiches de propagandes que l’on retrouve partout dans la ville, avec ce style très caractéristique vietnamien.
Toutes les typos sont composées en alphabet romain. C’est en effet une des caractéristiques étonnantes du Vietnam, ce pays asiatique utilise un alphabet romain (avec beaucoup d’accent permettant de reproduire les différents tons du vietnamien).
-->Plus d’infos sur Alexandre de Rhodes (le jésuite à l’origine de cette transcription) sur Wikipédia.
Des galeries d’affiches de propagandes datant des années 60-70, magnifiques, mais coûtant trop cher à mon avis (minimum 300-500 euros une affiche).
Nous commençons nos tentatives de rendez-vous avec des graphistes, mais cela s’annonce assez sportif, demain rendez-vous au ministère de la culture et de l’information pour avoir des infos sur les auteurs de ces affiches de propagandes. Nous avons déjà pu rencontrer un graphiste dans un musée (merci à Emmanuel Fuentes), mais pour avoir l’autorisation de l’interviewer il nous faut faire une lettre officielle (en Vietnamien) de demande à son directeur...
Le web vietnamien n’est visiblement pas censuré contrairement à la Chine populaire. En effet, en Chine vous ne pouvez pas accéder ni à Wikipedia, ni à Technorati et ni même à Orange (!) par exemple (et je ne parle pas de Google.cn). Mais vous pouvez tout de même contourner cette censure par des sites web vous permettant de brouiller votre adresse IP (comme un truc sécurisé dans un tunnel;-)

Je pars aujourd’hui pour Hanoï au Vietnam et je n’arrive pas à trouver beaucoup de contacts de designers Vietnamiens pour notre projet de documentaire sur le design asiatique. Si vous avez des pistes je suis preneur. J’ai envoyé pas mal de messages à droite et à gauche, mais presque aucune réponse...

ps : je serai à Singapour dans deux semaines, si vous avez aussi des pistes pour Singapour, merci d’avance.

rencontre avec Stanley Wong à Hong Kong...

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rencontre avec Frédéric Bouteiller et Frédéric Lichtenstein à Hong Kong...

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rencontre avec Hung Lam et Eddy Yu à Hong Kong...

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Rencontre avec Henry Steiner à Hong Kong, le 7 juin...

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Quelques photos des murs de Shanghai.
J’ai demandé à des étudiants en Art les risques que l’on pouvait prendre en faisant des graffs en Chine. Pour l’instant pas grand chose, car aucune loi n’existe contre ce genre de pratique. Il faut juste ne pas se faire attraper par le propriétaire des murs ;-)

Juste quelques photos des rues de Shanghai.
Ce qui est très choquant c’est que cette rue se trouve à cinq minutes à pied (et à poussette) de Huaiai Zhonglu ou se pressent magasins et centre commerciaux luxueux (Chanel, Gucci, Nokia, Dior, Sony...). Vous avez dans les rues un mélange assez étonnant de gens à pied, en vélos et d’autres en Porsche Cayenne (sachant que ce genre de voiture est taxé en Chine à 80% en plus de son prix d’origine). Ce n'est pas nouveau en Chine, mais en cinq ans (date de mon dernier séjour à Shanghai) l’écart s'est visiblement encore considérablement creusé entre la population.

A Shanghai, dans un magasin que vous connaissez bien ;-) nous avons trouvé (entre autres) des vélos électriques. Il faut savoir qu’à Shanghai les mobylettes sont interdites (ou presque), il y a donc un nombre incroyable de vélos électriques dans les rues. Les prix de ces vélos oscillent entre 180 euros et 100 euros suivant la qualité.
Je vous laisse regarder les prix de ces vélos en France (en gros 1000 euros), je ne comprends pas pourquoi nous n'avons pas ce genre de vélo en France et plus particulièrement à Paris. Le vélo électrique est pour moi une des solutions à la circulation dans Paris (et un début de solution à la pollution sonore et atmosphérique).

Petit calcul simpliste et hypothétique; la mairie de Paris achète 100 000 vélos électriques à Carrefour avec une petite remise, disons 100 euros le vélo chinois, nous arrivons donc à un budget de 1O millions d’euros (ce qui ne fait pas un budget extravagant pour la mairie de Paris, pour info, le budget 2007 de la collectivité parisienne représente 6,79 milliards d’euros).
La mairie de Paris distribue gratuitement ces vélos dans Paris et la vie est plus belle (et surtout plus silencieuse;-)

Nous venons juste d’arriver à Hong Kong après 18 heures de train (en partant de Shanghai). Il fait très chaud (normal pour Hong kong), juste le temps de faire quatre photos avant d’aller me coucher...

rencontre avec John Jay à Shanghai...

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Une boutique de Tee-shirts à Shanghai : Shirtflag au 50 Moganshan road.

Quelques photos prises dans les rues populaires de Shanghai et de Hangzhou.
Il est frappant de constater l’omniprésence des caractères chinois partout. Les rues sont littéralement envahit de caractères, on dirait presque que les murs tiennent juste par ces signes.

Hier en visitant les galeries d’art contemporain au Moganshan Road à Shanghai, nous avons découvert les peintures d’un artiste chinois travaillant sur ce thème. Il dessine et peint sur de grandes feuilles de riz des architectures typographiques typiquement chinoises.
Cet artiste se nomme Yang Jiali, il est né en 1981 à Shanghai. Le titre de cette série est Superficial prosperity.

rencontre avec Zhu Haichen à Zhuantang...

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