dimanche 27 décembre 2009
every day the same dream
Par Étienne, dimanche 27 décembre 2009 :: jeux vidéos
Un très bon « jeu », bien déprimant every day the same dream ;-)
aller au contenu | aller au menu | aller à la recherche
dimanche 27 décembre 2009
Par Étienne, dimanche 27 décembre 2009 :: jeux vidéos
Un très bon « jeu », bien déprimant every day the same dream ;-)
Par Étienne, dimanche 27 décembre 2009 :: retro gaming
mercredi 23 décembre 2009
Par Étienne, mercredi 23 décembre 2009 :: graphisme
le site de l’atelier de création graphique en ligne, juste avant noël, bravo pour le timing ;-)
mardi 22 décembre 2009
Par Étienne, mardi 22 décembre 2009 :: design numérique
Les entretiens du nouveau monde industriel en vidéo là.
À première vue il n’y a pas toutes les vidéos (à vérifier).
lundi 21 décembre 2009
Par Étienne, lundi 21 décembre 2009 :: design numérique
Un vivier d’applications (merci Douglas) : Creativeapplications.net.
et bien-sur le site d’OpenFrameWorks, logiciel (plus précisément il s’agit d’un ToolKit en open source écrit en C++, que l’on peut utiliser avec Xcode d’Apple, par exemple) permettant de réaliser de nombreuses applications de ce genre.
maj : une très bonne introduction à OpenFrameworks.
Par Étienne, lundi 21 décembre 2009 :: design numérique
COP15 Generative Identity Software - Evolutions Light from okdeluxe on Vimeo.
Par Étienne, lundi 21 décembre 2009 :: design numérique
Decode: Digital Design Sensations from onedotzero on Vimeo.
STVA-01 from Leo Lebkuchen on Vimeo.
Recoding Decode09 - V&A, by jmartinho.org from Joao Martinho Moura on Vimeo.
jeudi 17 décembre 2009
Par Étienne, jeudi 17 décembre 2009 :: livre
Un gros livre d’Étapes, pour fêter ses 15 ans de culture visuelle .
Magazine, le magazine des magazines, gratuit et introuvable sur le Net.
Neural, si vous aimez Processing, OpenFrameWorks, Arduino... c’est le magazine qu’il vous faut.
IG magazine, un magazine consacré aux jeux vidéos sans pub (et oui c’est possible) qui mélange actualité et histoire des jeux.
Recherche & Création, Collectif sous la direction de Samuel Bianchini, design de Frédéric Bortolotti.
mercredi 16 décembre 2009
Par Étienne, mercredi 16 décembre 2009 :: design numérique
Par Étienne, mercredi 16 décembre 2009 :: conférences
Demain, séminaire concernant l’Intelligence ambiante à l’Epita, avec Bernard Benhamou, Michel Alberganti, Rafi Haladjian, Alexandra Deschamps Sonsino, WendyMc Kay, Grégory Renard et Jean Louis Fréchin.
Par Étienne, mercredi 16 décembre 2009 :: copinage
Si vous voulez tester un peu vos connaissances de Geek, rendez-vous sur le site Chipsleaders.
--> et aussi de la même équipe Chips & tips sur l’Adobe TV.
dimanche 13 décembre 2009
Par Étienne, dimanche 13 décembre 2009 :: design numérique
samedi 12 décembre 2009
Par Étienne, samedi 12 décembre 2009 :: Général
Par Étienne, samedi 12 décembre 2009 :: Général
mercredi 9 décembre 2009
Par Étienne, mercredi 9 décembre 2009 :: jeux vidéos
J’ai fini le jeu Uncharted II (pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit d’un très gros BlockBuster sur PS3) la semaine dernière et je voulais faire un long article sur les dérives du jeu vidéo contemporain, mais monsieur Caféine a écrit ce je pensai avant moi et en mieux, donc je vous dirige vers son article.
je cite Caféine : « le joueur ne s'investit que très peu dans le média, il ne fait que suivre ses objectifs d'un oeil distrait, admirant les graphismes, les explosions, la mise en scène scriptée au possible (vous avez deviné, je parle du dernier Call of Duty) mais très efficace. La beauté du jeu est aujourd'hui devenue prédominante, puisque bien plus vendeuse que d'autres paramètres (IA, scénario, gameplay) et c'est bien dommage. Malgré les nouvelles avancées de Gameplay le joueur est plus que jamais spectateur, passif. ».
Ce jeu (Uncharted II) ayant eu, une moyenne de 96/100 sur le site de Metacritic (site faisant la moyenne des notes obtenues des jeux dans les sites web et magazines de références), je m'attendais à un chef d’œuvre vidéo ludique, et bien il s’agit d’un jeu scripté à outrance avec un scénario tenant sur un ticket de métro et des énigmes datant de Tomb Raider 1. Bien-sur la modélisation des décors, les animations et les performances techniques sont là, mais aucune magie, aucune immersion... juste un magnifique couloir avec un gros bouton suite (ne surtout pas faire ce jeu en difficulté « normal », car il devient beaucoup trop facile, le plaisir de jouer c’est aussi de rencontrer des difficultés et de les surmonter).
Mon fils de six ans le nomme le « jeu film », je crois que tout est dit (et je retourne sur PC, je couche mon fils et je lance Left 4 Dead 2 ou BorderLands ;-).
Plusieurs possibilités :
je suis trop vieux pour jouer à ces jeux (surement!)
avant c’était mieux (surement!;-)
un blockbuster ne peut prendre des risques, tout le monde doit pouvoir y jouer au risque de frustrer les plus « vieux » (comme au cinéma)
les jeux lorgnent tellement vers le cinéma qu'il en font une pâle copie
les journalistes du monde du jeu vidéo sont totalement vendus aux annonceurs
les journalistes du monde du jeu vidéo sont encore impressionnés par les prouesses techniques en oubliant qu’un jeu n’est pas qu’une démo technique (un peu comme si un critique de cinéma ne parlait d’un film en bien que parce-que celui-ci est en couleur ou en relief)...
je vous laisse rajouter les différentes autres options...
samedi 5 décembre 2009
Par Étienne, samedi 5 décembre 2009 :: livre
En sortant des conférences des Entretiens du nouveau monde industriel la semaine dernière, j’ai couru acheter Ubik de Philip K.Dick. Toutes ces conférences concernant le futur de nos objets m’ont rappelé mes souvenirs de la lecture (traumatisante) de ce livre vingt ans auparavant. Et bien après relecture attentive d’Ubik je peux affirmer que ce livre est un chef-d’œuvre de la science-fiction (et même de la fiction tout court). La lecture de ce livre devrait être obligatoire dans toutes les écoles de design. La place des objets, leurs usages, leurs utilisations, leurs importances, leurs significations, leurs futurs et leurs passés... sont décrit d’une manière magistrale par Philip K.Dick. Ce roman ne traite, bien sûr, pas que des objets, mais si je commence à en parler avec enthousiasme je crois que je vais « spoiler ».
Petite précision pour les gens ne connaissant pas l’univers de Philip K.Dick (et oui ça arrive), ces livres furent à l’origine de films comme Blade Runner, Total Recall et Minority Report (mais aussi Paycheck et bien d’autres).
L’envie de relire ce livre me fut aussi donnée par une intervention de Daniel Kaplan, indiquant au début de sa conférence, avec raison, que la science-fiction ne faisait plus son travail. En effet la science-fiction contemporaine n'arrive plus a avoir un imaginaire d’avance (contrairement à la SF des années 50 et 60) nous ne sommes plus dans des utopies mais au contraire dans des dystopies.
En gros, nous sommes actuellement dans le futur imaginé dans les années 50 et 60, à part les voitures volantes, nous sommes dans le futur, amis il n'existe aucune utopie pour notre propre futur (sauf très sombre).
Voici un extrait (juste dans les premières pages) vous permettant de juger de l’intelligence et de l’acuité de ce texte (sans parler de sa totale paranoïa).
Ce texte fut écrit en 1966 + traduction d’Alain Domérieux
———————————————————————————————————
« Il manipula la poignée du réfrigérateur, pour en sortir un carton de lait.
– Dix cents, s’il vous plaît, dit le réfrigérateur. Cinq pour ouvrir la porte et cinq pour la crème.
– Ce n'est pas de la crème, dit-il. C’est du lait ordinaire. (Il continua à essayer de manœuvrer – inutilement – la porte du réfrigérateur.) Juste cette fois, fit-il. Je paierai ce soir, juré. »
...
« – quand puis-je apporter mes affaires ici ?
demanda-t-elle en s’éloignant vers la salle de bain. Puisque je vous ai donné sans doute l’équivalent d’au moins un mois de loyer, je considère que je suis chez moi maintenant.
– quand vous voudrez, dit-il.
La salle de bain déclara :
– cinquante cents, s’il vous plaît. Avant de commencer à faire couler l’eau. »
Pat revint dans la cuisine pour prendre son porte-monnaie. »
———————————————————————————————————
Où comment Philip K.Dick dès les années soixante fait un trait définitif sur la domotique et sur les vendeurs de réfrigérateurs intelligents ;-)
Dans mes souvenirs de romans de science-fiction terrorisants, avant-gardistes et essentiels, je pense à Crash! de J. G. Ballard (en 1973) et aussi à Solaris de Stanislas Lem (en 1961).
Attention, si vous n'avez jamais lu ces romans, la lecture d’Ubik, Crash! et Solaris va vous marquer pour le restant de vos jours.