Etienne Mineur archives

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jeudi 27 septembre 2007

Ping Pong, Échange visuel, André Baldinger, Philippe Millot

Ping-Pong
Je fais passer l’info :
L’un vient de Zurich (Suisse) suit ses études à la Kunstgewerbeschule de cette même ville, l’autre vient de Paris (France) où il étudie à l’École nationale supérieure des arts décoratifs (Ensad).
Leur première rencontre date de leurs études à l’Atelier National de Création Typographique, au sein de l’Imprimerie Nationale, où les deux se retrouvent par un intérêt commun pour la typographie et la création de caractères.
Ping-Pong
Depuis, leurs chemins se croisent régulièrement; ils enseignent aujourd’hui à l’Ensad, Paris, et se retrouvent souvent autour des questions qui animent les recherches typographiques et visuelles. Ils sont tous les deux membres de l’Agi, Alliance graphique internationale, association qui regroupe 400 designers parmi les meilleurs mondiaux.
Ping-Pong
André Baldinger et Philippe Millot s’exposent aujourd’hui pour un ping-pong qui présente une sélection de leurs travaux de ces dix dernières années. Du dessin de caractère à la signalétique, en passant par l’identité visuelle ou la conception de livres et d’affiches ou de scénographies, leurs travaux couvrent un large spectre de l’expression visuelle et font régulièrement l’objet de publications, prix et distinctions.

Deuxième partie
Besançon
03—27.10.07
École régionale
des Beaux-Arts
12, rue Denis-Papin
25000 Besançon
__ Ouverture__
lundi—vendredi
09—12h & 14—19h

Mercredi 03 X 07
Conférence à 17h
Vernissage à 18h30

mercredi 26 septembre 2007

congrès annuel de l’AGI en live

Bonne nouvelle, l’AGI (Alliance Graphique Internationale) se modernise ;-) le congrès annuel de l’AGI débute aujourd'hui à Amsterdam, et vous pouvez le visionner en live à cette adresse (10:00 AM and 17:00 PM local time.).
--> www.bno.nl/unknownland

L’ambiance semble assez cheveux courts ;-)

mercredi 12 septembre 2007

Spirograph et cinéma

Un lien vers un très bon article trouvé dans le blog la boite à image concernant le design graphique du film Vertigo (merci Nicolas).

--> et un petit cadeau pour les nostalgiques du spirograph : www.wordsmith.org

cycles de six conférences de Michel Wlassikoff

Graphisme et typographie en France du XVIe siècle à nos jours

Michel Wlassikoff, historien du graphisme, auteur d’Histoire du graphisme en France, une coédition Carré – Les Arts Décoratifs publiée en 2005, décrit et définit les différents aspects de la pratique du graphisme : art de l’affiche, création typographique, graphisme éditorial, de presse, d’information, multimédia, habillage télévisuel. Les évolutions graphiques et typographiques sont examinées en lien avec les grands courants esthétiques français et internationaux, avec les arts plastiques, la photographie, le design ou encore l’urbanisme. L’apport des créateurset des mouvements graphiques étrangers est précisément indiqué.

• Prédominance de la langue et de la typographie française du XVIe au XIXe siècle. De l’Art nouveau aux avant-gardes (1895-1925) 24 octobre

• Des Arts décoratifs à l’Union des artistes modernes. La fondation du graphisme moderne (1925-1940) 21 novembre

• De l’Occupation à l’Alliance graphique internationale. L’apport suisse et le début des images de marques (1940-1965) 12 décembre

• De la conception d’un nouvel environnement à l’entrée en scène du numérique (1965-1985) 13 février

• Extension du domaine du graphisme 19 mars

• La contestation des signes : « l’héritage de Mai 68 » 21 mai

Tarifs : 5€/2€ la séance
Les mercredis d’octobre 2007 à mai 2008, de 18h30 à 20h30
Salle de conférences des Arts Décoratifs
111 rue de Rivoli, 75001 Paris

Jérôme Saint-Loubert Bié expose 13 affiches

Jérôme Saint-Loubert Bié expose 13 affiches de Francis Baudevin, Documentation Céline Duval, Daniel Eatock, Experimental Jetset, Christoph Keller, Mevis & van Deursen, Jonathan Monk, Dave Muller, Regular, Yann Sérandour, Stripe / Jon Sueda & Gail Swanlund, Jian-Xing Too, Vier5.

Atelier Cardenas Bellanger
Du 15 septembre au 31 octobre 2007
43 rue Quincampoix 75004 Paris, mardi – samedi, 11 h – 19 h
+33 (0)1 48 87 47 65, http://www.ateliercardenasbellanger.com
Vernissage le samedi 15 septembre à partir de 18 heures

Galerie de multiples
Du 8 septembre au 9 octobre 2007
17 rue Saint-Gilles 75003 Paris, mardi – samedi, 14 h –19 h
+33(0)1 48 87 21 77, http://www.galeriedemultiples.com
Vernissage le samedi 8 septembre à partir de 14 heures

le texte du dossier de presse :
Invité à présenter une exposition personnelle à la galerie Atelier Cardenas Bellanger, Jérôme Saint-Loubert Bié a choisi, afin d’en dédoubler les enjeux, de diviser celle-ci en deux parties : l’une à l’Atelier Cardenas Bellanger, l’autre dans le showroom de la Galerie de multiples. Il a demandé à 13 artistes et graphistes de concevoir deux affiches, destinées à la fois à annoncer chacun des deux événements et à constituer le contenu même des expositions : les 13 affiches accrochées à l’Atelier Cardenas Bellanger informent sur l’exposition à la Galerie de multiples, située à une quinzaine de minutes à pied, où sont inversement montrées les 13 affiches qui concernent l’exposition à l’Atelier Cardenas Bellanger. Ainsi chaque exposition consiste à en annoncer une autre, instaurant un va et vient entre les deux lieux.

Il est nécessaire de visiter les deux espaces d’exposition pour voir les 26 affiches et le projet dans son ensemble. Les affiches conçues par les 13 artistes et graphistes invités, très diverses tant du point de vue formel que conceptuel, sont en elles-mêmes de véritables oeuvres et sont pour la plupart conçues avec l’idée que l’exposition fonctionne en deux parties. Imprimées en offset, elles comportent, à la demande de Saint-Loubert Bié, le nom de tous les artistes et graphistes ainsi que les lieux et dates des événements. Elles ont en premier lieu servi d’invitation, chaque galerie expédiant aux destinataires de son fichier un exemplaire de l’un des 13 modèles annonçant le volet de l’exposition qu’elle présente. Enfin, les 13 affiches de chaque série sont réunies en deux portfolios, dans une édition limitée à 13 exemplaires. Les affiches connaissent donc une triple existence : en tant qu’invitations, en tant qu’objets exposés et en tant qu’édition, cette dernière constituant ainsi l’archive de l’exposition – de son contenu comme de sa documentation.

Saint-Loubert Bié a imaginé un dispositif et choisi ceux qui le mettraient en oeuvre. Questionner ainsi la notion d’auteur d’une oeuvre d’art et revendiquer le concept de celle-ci tout en déléguant à d’autres son exécution n’est certes pas nouveau, mais Saint-Loubert Bié a poussé l’idée très loin en faisant appel à des créateurs reconnus plutôt qu’à des exécutants anonymes. Il s’est adressé à des artistes et graphistes de sa génération qui, d’après lui, partagent certaines de ses interrogations, et leur a demandé de mettre en avant leurs propres idées dans la réalisation de ce projet, et d’y inclure leur propre démarche.

Avec cette exposition, Saint-Loubert Bié prolonge une idée qu’il avait déjà mise en pratique au printemps dernier à l’occasion de son exposition au Mac/Val (Musée d’Art contemporain du Val-De-Marne). À cette occasion, il avait fait agrandir et encadrer des photographies prises par le photographe Marc Domage, engagé par le musée pour documenter le travail des artistes – dont Saint-Loubert Bié faisait lui-même partie – participant à une série d’expositions personnelles autour du thème de l’économie. De manière similaire, mais avec des moyens très différents, Saint-Loubert Bié s’interroge dans le présent projet sur la question de l’auteur à travers la présentation du travail de ses contemporains, mais cette fois en établissant lui-même les règles du jeu et le choix des artistes et graphistes, entremêlant par la même occasion art et design graphique, présentés sans distinction.

Au regard de l’histoire des relations fertiles (quoique peut-être parfois négligées) entre art et design, demander à des artistes aussi bien qu’à des graphistes de participer à ce projet répond à une idée fort simple, que Saint-Loubert Bié réalise cependant de façon très singulière : il rassemble en un seul objet l’oeuvre d’art et sa promotion, l’oeuvre d’art et sa documentation, un travail d’artiste et un travail de commissaire, une exposition personnelle et une exposition collective, une exposition et deux expositions, une oeuvre contextuelle et un multiple autonome.

lundi 10 septembre 2007

Street Art

Très beau blog concernant le Street Art : www.woostercollective.com
et aussi là : www.woostercollective.com/3d

ps : merci Catalina ;-)